Imaginez-vous comme étant mort. Vous avez vécu votre vie. Maintenant, prenez ce qu’il reste et vivez correctement. Ce qui ne transmet pas la lumière crée sa propre obscurité.

Adopter l’idée stoïque de penser comme étant mort n’est pas synonyme de mélancolie ou de tristesse morose, mais plutôt une invitation à embrasser la fragilité et la préciosité de la vie. Chaque moment de vie est notre trésor le plus précieux. Nous avons tous vécu notre vie à notre manière jusqu’à présent, avec nos luttes, nos triomphes et nos erreurs. Mais considérer que ce passé est déjà mort est un moyen de ne pas se laisser submerger par ses regrets, ses erreurs ou ses victoires. Il vous reste encore du temps, utilisez-le sagement, en ligne avec vos valeurs, sans céder au désespoir ou à la complaisance.

Dans cette perspective, comprendre que «Ce qui ne transmet pas la lumière crée sa propre obscurité signifie que nos actions, notre perspective et notre être sont des générateurs de lumière ou d’obscurité. Si nous ne faisons pas passer la lumière – la bonté, la vérité, la vitalité – alors nos actions, nos attitudes et même nos pensées deviennent des sources d’obscurité, ce qui occulte la véritable valeur et la richesse de la vie. Faites le choix de transmettre la lumière en vivant une vie digne et bienveillante envers vous-même et les autres.

Dans votre vie quotidienne, appliquez cette sagesse en étant attentif à la façon dont vous vivez. Par exemple, chaque fois que vous voyez le lever du soleil, souvenez-vous que vous avez l’occasion d’être la source de lumière dans la vie de quelqu’un d’autre. Faites le choix d’être gentil et compréhensif envers les autres, même s’ils sont durs ou injustes envers vous, et respirez la sincérité et l’honnêteté dans toutes vos interactions. Ainsi, même lorsque la nuit tombe, votre lumière persiste et éclaire votre chemin, donnant sens à chaque moment vécu.

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